“Hors lits” sbarca a Tunisi
Con l’occasione dell’arrivo del coreografo di origine italiana, Leonardo Montecchia, a Tunisi, lo abbiamo incontrato per conoscerlo. Insieme alla compagnia tunisina di danza di Selim Ben Safia – la cui voce sarà presto su questi spazi - presenta il primo novembre prossimo, lo spettacolo ''Hors-lits'', un concetto del tutto nuovo ed originale di concepire la danza contemporanea con l'obiettivo di promuovere la creatività tunisina e favorire gli scambi tra artisti della scena internazionale. Questo nuovo format prevede che gli spettatori partecipino all'evento spostandosi da una casa all'altra durante ogni performance: tre case distinte, tre atti, un solo pubblico ed ingresso gratuito.)
La conversazione si è svolta in francese perché Leonardo, malgrado la sua origine italiana, capisce la nostra lingua ma ha difficoltà a scriverla. Su
Saltinaria.it, in esclusiva, il testo in italiano.
Juste en quelques lignes, peux-tu te decrire, ta personalité et ton chemin?
«Difficile de définir moi même ma personnalité , c’est plutôt aux autres à le faire. En tous cas, je me sens curieux, et avec une nécessité compulsive à échapper à l’ennui. Et je m’ennuie assez rapidement. J’ai besoin de toujours chercher, nouvelles rencontres, nouveaux horizons».
Quelles sont les caracteristiques principales de ton art?
«Le questionnement».
En particulier, quell'est l'origine de ce spectacle et quelle reponse a eu?
«“duO2” à été crée depuis un travail de recherche autour de la respiration et le mouvement. Je voulais travailler sur les gestes physiques de l’émotion. Et donc, le travail de la respiration amené à la danse. C’est un duo très physique, et les spectateurs sont très ému. Ils ont très en empathie aussi, ils respirent au même temps que nous. Et ils se racontent pleins des histoires, même si ce n’est pas notre volonté première».